Si vous avez lu régulièrement la presse sportive la saison dernière, vous savez que Paul Le Guen était le principal coupable des insuffisances de résultats du Paris SG. Avant d’évoquer sa communication, ses défauts et ses qualités, sa gestion des coupes, la terrible fin de saison ou encore les clans dans le vestiaires, arrêtons-nous un instant sur quelques articles : Le Guen blesse ses joueurs, Le Guen s’engueule avec ses cadres, Le Guen oblige Sessegnon à trop défendre, Le Guen ne répond pas à toutes les questions des journalistes…
À partir de la mi-mars, les résultats du Paris SG ont commencé à décliner. Le brillant redressement du club parisien — deuxième du championnat, toujours en lice en coupe UEFA — laisse alors place à une incapacité à prendre les commandes de la L1. L’occasion de rajouter quelques pierres dans le jardin de Le Guen…
Le Guen blesse ses joueurs
Le Guen a blessé Sakho — d’après Christophe Bérard
Blessé à la cheville droite par un tacle dangereux de Gaston Curbelo — que personne ne jugera utile de sanctionner a posteriori, comme Makelele ou Sessegnon —, Mamadou Sakho est sorti sur blessure lors du match PSG-Nancy, début mars. Par la suite, sa blessure l’a éloigné des terrains durant plusieurs rencontres — bien que le PSG ait été épargné par les blessures cette saison, comme chacun sait.
Mais pour le Parisien, ce n’est pas Curbelo le coupable, c’est… Paul Le Guen. Et l’évidence ne frappant pas aux yeux, il est préférable de la rabâcher :
Christophe Bérard, dans le Parisien du 21 mars :
Sakho ressort diminué du pari de Le Guen d’avancer son retour, au lieu de faire confiance à Traoré, afin de l’aligner contre l’OM puis face à Braga.
Christophe Bérard, dans le Parisien du 23 mars :
Mamadou Sakho soigne toujours une mauvaise entorse de la cheville. S’il n’est toujours pas remis alors qu’il a été blessé le 1er mars, c’est que Paul Le Guen l’a fait reprendre trop tôt contre l’OM et Braga. Logiquement(sic), la douleur est revenue au point que Sakho devrait déclarer forfait pour les matches de l’équipe de France Espoirs contre l’Estonie et l’Angleterre.
Christophe Bérard, dans le Parisien du 3 avril :
Sakho n’est pas encore complètement remis de son entorse à la cheville droite survenue le 1er mars contre Nancy (4-1). Le club l’a déjà fait reprendre trop tôt contre l’OM puis face à Braga, ce qui a occasionné une rechute. Il a toujours mal à la cheville et ne souhaite pas jouer dimanche. Le bon sens conviendrait de le dispenser de ce match.
On notera tout de même que la responsabilité a glissé de Le Guen au club entre le 21 mars et le 3 avril. Christophe Bérard a-t-il découvert l’existence d’un staff médical au PSG entre temps ?
Et patatras, Le Guen n’y était pour rien
Et patatras, le 8 avril, le même Christophe Bérard revient sur cette affaire :
Mamadou Sakho […] est une nouvelle fois contraint au forfait, car il se plaint toujours de sa cheville droite. Victime d’une entorse contre Nancy (4-1) le 1er mars, il a disputé l’intégralité du match contre l’OM (défaite 3-1) avant de se blesser à nouveau à Braga le 19 mars. Ce jour-là, le jeune défenseur parisien n’a pas été victime d’une rechute pour avoir repris trop tôt, mais d’une nouvelle entorse de la cheville droite. Le protocole médical mis en place pour sa guérison est donc reparti de zéro.
Et voilà, finalement, Le Guen n’y était pour rien [1]. Contrairement à ce qu’a affirmé le Parisien à trois reprises, Sakho n’a pas été victime d’une rechute. Le bon sens aurait sans doute voulu que Bérard fasse son mea culpa [2]. Mais après tout, pourquoi s’embêter avec ce genre de détails, puisque Le Guen est un salaud.
Armand, Giuly, Makélélé : des feignasses !
De son côté, Damien Degorre (L’Équipe) n’est pas très sûr de savoir ce qu’il veut. Le 5 mai, il militait pour que Le Guen fasse jouer des joueurs blessés :
S’il apparaît impossible pour Hoarau de jouer dans son état physique actuel, la question se pose en d’autres termes pour les trois autres [Armand, Giuly et Makélélé]. Les quatre prochains matches s’annoncent cruciaux dans la course à la Ligue des champions et leur douleur n’est pas assez forte au regard du challenge à relever pour justifier un repos forcé.
Le 25 mai en revanche, Degorre semblait sceptique :
Il [le Paris SG] paie aussi le fait que certains joueurs évoluent blessés depuis plusieurs rencontres. C’est le cas de Ceara, qui joue avec une douleur persistante à l’aine, et d’Armand, dont l’entorse à un genou n’est pas complètement guérie.
De la difficulté de ne pas jouer blessé quand on est blessé…
Sessegnon défend trop et pas assez
Sessegnon défend trop, y en a marre !
Le 6 avril, dans L’Équipe, Jérôme Touboul est formel : Paul Le Guen n’a rien compris, « on » (les journalistes ?) ne vient pas au Parc pour voir Sessegnon défendre :
Le Guen a beau trouver qu’il ne défend pas assez, on ne vient pas au Parc pour voir Sessegnon défendre. On vient le voir pour sa capacité phénoménale à faire la différence […].
Sessegnon ne défend pas assez, y en a marre !
Le 23 mars pourtant, son collègue Damien Degorre reprochait au numéro 10 parisien de ne pas défendre suffisamment :
Sessegnon oublie de défendre
Sur le premier but toulousain, cinq minutes après le coup d’envoi, Ceara, en bon père tranquille, s’en est allé se placer dans l’axe, là où le PSG se trouvait en infériorité numérique, persuadé que Sessegnon allait se charger de Bergougnoux. Ce que le Béninois n’a pas fait. Décalé par Didot, l’attaquant toulousain, libre de tout marquage, ouvrait le score d’une frappe enveloppée du droit. Sur le troisième, juste avant la pause, rebelote. Personne pour voir Sissoko seul à l’entrée de la surface de réparation, et surtout pas Sessegnon, pas très loin. […] Si Sessegnon manifestait la même ardeur dans le replacement défensif que dans sa volonté de se projeter vers l’avant, il serait sans doute l’un des meilleurs joueurs en Europe.
Le 17 avril, le même Degorre poursuivait :
Le haut niveau ne se joue pas que sur des détails. Il y a aussi un ballon perdu qu’on ne cherche pas à récupérer, un autre boxé dans ses propres filets ou encore une offrande à l’adversaire à six mètres de son but. Le PSG en a vécu la triste expérience hier, à Kiev. À moins de considérer que des erreurs techniques grossières ou des attitudes déplacées relèvent de ces fameux « détails », la conclusion de ce quart de finale est sans appel : Paris ne méritait pas de voir Istanbul cette année. […] Qu’avait dit Paul Le Guen la veille ? Que son équipe devrait se montrer vigilante en début de rencontre et très attentive au pressing adverse. Peut-être aurait-il dû le répéter un peu plus fort aux oreilles de Sessegnon, dont la désinvolture à la perte des ballons a été aussitôt sanctionnée d’un but de son ancien partenaire au Mans, Ismaël Bangoura. Sur cette ouverture du score, S. Traoré aurait pu sortir plus vite sur l’attaquant de Kiev, Landreau aurait pu se coucher plus promptement, mais le gros de la faute incombe au milieu béninois qu’on pardonne d’autant moins facilement qu’on attendait beaucoup de lui sur ce match.
Deux jours plus tard, rebelote :
Il [Sessegnon] aurait dû se transformer en poinçonneur de tickets pour les demi-finales de l’UEFA. L’histoire du quart retour, à Kiev (0-3), ne retiendra pourtant que son ballon perdu coûtant le premier but. Jusqu’alors, son manque d’implication dans le repli défensif était compensé par des dribbles et des frappes à donner le tournis. […]
Les clashs entre Le Guen et ses joueurs
Le Guen ne s’entend pas avec Giuly
Le Guen n’ayant pas initié la venue de Ludovic Giuly au PSG, il a été considéré comme acquis par de nombreux journalistes et chroniqueurs que les deux personnes ne pouvaient pas s’entendre. À la base de cette affirmation, L’Équipe du 9 octobre 2008 et sa une sur la venue de Didier Deschamps au PSG. Jérôme Touboul et Damien Degorre affirmaient :
Paris, il [Deschamps] retrouverait des joueurs qu’il connaît bien, comme Jérôme Rothen ou Ludovic Giuly, qu’il a déjà dirigés à Monaco, ou encore Claude Makélélé, avec qui il a évolué une fois en Équipe de France. Giuly et Makélélé, deux joueurs qui ont l’oreille de Villeneuve, ne sont d’ailleurs pas les premiers supporters de Paul Le Guen. Voir débouler Didier Deschamps ne serait pas pour leur déplaire.
Dans sa chronique sur le site Les dessous du sport, Ludovic Giuly réagit aussitôt :
Je souhaiterais une explication sur ces propos. À L’Équipe, ce sont des fouteurs de merde. Quand quelqu’un à L’Équipe entendra de ma bouche ce genre de choses, alors il pourra l’écrire. Je tiens à réaffirmer que je suis très bien avec Paul Le Guen, et que je vis bien au sein de son groupe. L’arrivée de Deschamps n’est qu’une rumeur. D’où sort-elle ? Moi aussi, je peux lancer des rumeurs. Tiens, je vous l’annonce : Zizou va venir entraîner le PSG !
Rassurez-vous, les lecteurs de L’Équipe n’ont jamais été informés de cette réponse.
Un mois plus tard — le 9 novembre —, Giuly réitère ses propos dans une interview au Parisien :
[Dans le vestaire] je laisse le coach s’exprimer. Il le fait bien. […] [Mes relations avec Paul Le Guen sont] franches et pleines de respect. J’ai confiance en lui. […] Quand il a fallu se dire les choses entre quatre yeux, on l’a fait, notamment sur des problèmes tactiques. Tout est clair. Vraiment, dire que je n’apprécie pas Paul, c’est minable et faux.
Mi-avril, après le match PSG 0-0 Dynamo Kiev, l’ancien Romain évoque son absence du onze de départ dans sa chronique hebdomadaire :
J’ai discuté avec Paul Le Guen avant le match. Je me sentais bien, comme d’habitude, j’avais l’envie de jouer, de participer, mais l’entraîneur accorde sa priorité au championnat. Je comprends sa décision. Si on fait une bonne fin de saison en Ligue 1, on peut accrocher une place en Ligue des champions, ce qui est très important pour le club.
Début mai, il évoque le départ annoncé du Breton :
Paul Le Guen ne sera plus mon entraîneur la saison prochaine. Comme toute l’équipe, j’ai été surpris d’apprendre son départ par les journaux. On savait qu’une décision serait prise. On se doutait que ça allait bouger. Mais rien ne semblait encore décidé. Il reste quatre matches avant la fin de « son » exercice. L’équipe doit continuer à se battre pour lui rendre hommage et pour saluer le travail qu’il a accompli avec son staff pendant deux ans et demi. Un an, c’est un peu court pour se forger une opinion définitive sur quelqu’un, mais je n’ai jamais eu de problème avec Paul Le Guen. C’est un bon coach, un mec droit.
Ludovic Giuly a donc, tout au long de la saison et alors que rien ne l’y obligeait, affirmé et réaffirmé qu’il s’entendait bien avec son entraîneur. On a déjà vu relation plus tumultueuse au sein d’une équipe de football…
L’avenir de Makelele était-il lié à celui de Le Guen ?
Le 6 mai, Makelele ne voulait pas continuer avec Le Guen !
Début mai, le Parisien est sûr de lui : « Claude Makelele ne voulait pas continuer à jouer au PSG sous les ordres de Le Guen ». On peut difficilement être plus clair. Arnaud Hermant, Laurent Perrin et Dominique Sévérac affirment le 6 mai :
Un fait est avéré : Claude Makelele, capitaine emblématique du PSG, ne voulait pas continuer à jouer au PSG sous les ordres de Le Guen. Son entourage, très proche de Colony, et le joueur lui-même, l’ont fait savoir à l’actionnaire. Lequel souhaitait, plus que tout, que le milieu de terrain, qui a ramené le club presque au sommet par son aura et son expérience, continue.
Quelques jours plus tard, dans L’Équipe, Jérôme Touboul partage le même sentiment : Makelele serait ainsi « réputé pour avoir plus d’une fois suggéré à Bazin de tourner la page Le Guen », puis carrément présenté comme « celui qui a le plus œuvré auprès de Sébastien Bazin pour que le contrat de Paul Le Guen ne soit surtout pas renouvelé ».
Le 12 mai, en fait, Makelele voulait bien continuer avec Le Guen…
Et patatras ! Le 12 mai, après que Makelele a annoncé son intention de poursuivre sa carrière de joueur une saison de plus, Christophe Bérard affirme le contraire dans le Parisien :
Il est tentant de rapprocher le choix du joueur de la décision prise par le président du PSG, Sébastien Bazin, de ne pas reconduire Paul Le Guen au poste d’entraîneur. Mais en réalité, Makelele n’a pas lié son avenir à celui de Le Guen. Il se serait simplement « accommodé » de poursuivre un an de plus sous les ordres du technicien breton. Derrière ce verbe, il faut comprendre que Makelele a été déçu par Le Guen. Il s’imaginait comme un relais entre ce dernier et le groupe professionnel. Mais dans les faits, Le Guen ne l’a jamais considéré comme un interlocuteur privilégié.
Le 26 mai, dans une interview accordée à L’Équipe, Makelele confirme :
J’aurais continué s’il [Le Guen] était resté. On a eu des rapports francs. Cela m’a étonné d’entendre parler de complot. Oui, je suis proche de Bazin car je le connaissais avant mon arrivée à Paris, mais il n’est pas venu me voir pour me demander si on devait garder Le Guen. Le coach le sait. Mon seul boulot, c’est joueur, capitaine, porte-parole d’une équipe jeune.
« Alain Cayzac a juré la perte de Le Guen »
Le 18 mars, Frédérique Galametz affirme dans L’Équipe :
Alain Cayzac, l’ancien président du club, toujours influent au conseil d’administration, lui reproche aussi de l’avoir lâché lors de son éviction en mai dernier et a juré sa perte.
Trois jours plus tard, elle publie la réponse de l’ancien président du PSG :
Alain Cayzac […] s’est ému de retrouver son nom dans la liste des ennemis déclarés de Paul Le Guen et notamment de lire qu’il « avait juré la perte » de l’entraîneur du PSG. « Je n’ai jamais eu de pensées médiocres et négatives de ce type, nous a-t-il expliqué hier. J’ai assez clairement exprimé depuis mon départ que je souhaitais la réussite du PSG. J’ai toujours dit que Paul Le Guen était un entraîneur compétent et courageux. Et je me réjouis de sa réussite indiscutable. Je rappellerai aussi que je l’ai choisi, et que je l’ai gardé contre vents et marées. Puis j’ai choisi de partir pour provoquer un électrochoc. J’ai émis quelques réserves et regrets quant à l’attitude de Paul depuis mon départ et je les assume. Mais je ne souhaite pas qu’il échoue. Ce serait scandaleux et honteux. Quand (sic) à l’avenir, seuls Paul Le Guen et Sébastien Bazin en décideront. »
Les réserves qu’Alain Cayzac a exprimées sur l’attitude de Le Guen sont détaillées dans le livre de l’ancien président du PSG :
Paul Le Guen, lui, ne m’enverra que ce SMS, le soir de la victoire à Sochaux qui sauve le PSG de la relégation, lors de la dernière journée de championnat : « Pensées amicales et sincères. On a réussi à le faire. » J’ai trouvé ça un peu court.
Dans une interview accompagnant la promotion de son ouvrage, Cayzac a développé :
Et puis, quand je suis parti, j’aurais aimé qu’il se manifeste, qu’il m’envoie un petit SMS. Je pense plus par pudeur que par indifférence, il n’a pas su faire ça. J’ai regretté un peu, mais je ne suis pas fâché avec lui.
Le 29 mai, Paul Le Guen livrera sa version des faits à L’Équipe :
C’est faux [de dire que je ne m’entendais ni avec Cayzac ni avec Bazin]. Avec Cayzac, c’était courtois. Ensuite, tout est lié à son départ. J’étais un salarié du club. On m’a demandé de rester. Je ne lui reproche pas ses critiques ensuite, mais forcément la relation s’est altérée.
Le Guen ne répond pas à toutes les questions
Paul Le Guen est donc un salaud. Si vous en doutiez encore en début de saison, Damien Degorre en a remis une couche le 30 novembre, dans un article intitulé « Quand Le Guen s’agace… » C’est la crise à Paris ? Presque : interrogé pour la 437e fois sur le transfert avorté de Jimmy Briand au PSG l’été dernier, l’entraîneur parisien répond à la question sans prononcer les mots « j’aurais très beaucoup préféré avoir Briand plutôt que Kezman, donc je suis très en colère contre mon président que je n’aime pas, d’ailleurs je tiens à signaler qu’on ne s’entend pas bien lui et moi, c’est la crise ». Du coup, les plumitifs de L’Équipe le relancent, au cas où Le Guen changerait d’avis à la 438e tentative. Peine perdue : « Cette question ne m’intéresse pas. » Le résultat ? Un article très… L’Équipe :
Paul Le Guen ne veut plus parler de Jimmy Briand. Hier, lors de sa traditionnelle conférence de presse d’avant-match, l’entraîneur parisien a été soumis à des questions portant sur le profil technique de l’attaquant rennais, dont il avait fait une priorité de recrutement lors du marché des transferts. « Ce n’est pas mon rôle de parler de lui, a martelé Le Guen. Rennes n’a pas voulu s’en séparer, point final. Je l’ai appelé pour lui souhaiter une bonne saison et voilà. Moi, je parle de mes joueurs, de mon équipe. » Donc, pas de réponse sur le profil de Briand ? « Cette question ne m’intéresse pas », a-t-il coupé.
La vidéo de l’échange sur le site du Parisien permet de mieux apprécier la réponse de Le Guen :
À un moment donné on s’est intéressés à lui, ça n’a pas été possible, maintenant bonne saison pour lui à Rennes, et on le laisse tranquille. […] Je souhaite rester sur cette ligne-là, je trouve que c’est la moindre des choses. […]
— Mais justement sur les qualités du joueur…
— Non. Est-ce que sur les autres équipes je m’exprime ? Je ne m’exprime ni sur les entraîneurs adverses — la preuve, votre question tout à l’heure elle ne m’intéressait vraiment pas —, et ça ne m’intéresse pas non plus de parler des autres joueurs. Je m’intéresse aux miens. Posez-moi éventuellement des questions sur mon équipe, mais là franchement ça ne m’intéresse pas. Que vous, vous écriviez [sur Briand] oui, mais moi non, ce n’est pas mon rôle. Qu’est-ce que je vais aller dire sur Briand aujourd’hui ?
À suivre sur PSGMAG.NET :
Le Guen est un salaud ;
La communication de Paul Le Guen ;
Le Guen en questions : ses défauts, ses qualités ;
La gestion des coupes en 2008/2009 ;
La tempête de mai 2009 ;
Des clans dans le vestiaire ;
Peut-on critiquer la presse ? ;
Bilan final : Paul Le Guen 2007-2009.
[2] Signalons tout de même l’honnêteté intellectuelle incontestable du reporter du Parisien, qui infirme explicitement la thèse selon laquelle la responsabilité de la blessure de Sakho incomberait au club, dès lors qu’il en a eu connaissance.
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Le guen a fait de bonnes et de moins bonnes choses. Ceci dit meme les remplaçant ne l ont jamais critiqué.
Je voulais faire une remarque sur "la blessure à la cheville droite par un tacle dangereux de Gaston Curbelo — que personne ne jugera utile de sanctionner a posteriori, comme Makelele ou Sessegnon —" Aucun média n en a parlé !! Mais pire le PSG non plus ! Qui n a pas fait appel pour make et sessegnon (qui nous a cruellement manqué contre l om) Il aurait fallu ruer dans les branquard !! Mais non le PSG n’a rien dit. On accepte les sanctions injustes et on ne dit rien quand les autres ne sont pas sanctionnés….
Je n’arrive pas à comprendre qu’on puisse ENCORE porter le moindre crédit aux journalistes de Sport et au journal qui s’appelle le …Parisien !
Le problème chez ces individus c’est que lorsque qu’ils écrivent sur de nos JOUEURS ils croyent écrire dans la page HIPPIQUE ! Regardez ce qu’ils écrivent sur le Valeureux …et quelques fois malchanceux M. MAMADOU SAKO !!! On dirait qu’ils parlent de la blessure d’un Cheval qu’un propriètaire (dixit M.Paul LE GUEN ) aurait fait "courrir" de force pour ne pas rater le Tiercé !
Où ils étaient ces "journalistes"(que par le nom !) si "vertueux" sur la douleur physique, de l’Homme MAMADOU SAKO lorsqu’il était encore au CFA et s’entrenait durement et regulièrement pour devenir Aujourd’hui un véritable défenseur Professionnel Courageux sur les actions comme M.CHANTOME ! OUI, IL Y A DES BLESSURES ! MAIS "journalistes de Romans-photos"avez vous déjà jouer sérieusement au Football où vous occupiez de couper les citrons !
Vous passer votre temps à écrire des "conneries" sur notre club pour vendre votre feuille de choux et Nous, Nous passons notre temps à essayer de vous éduquer sur celui ci ! mais peine perdu mes Amis SUPPORTERS du vélodrome( largement avant les marseillais !) du Parc des Princes !
Ils ne seront JAMAIS objectif, et pour cause ( ££££ !!!!) avec Nos JOUEURS et NOS ENTRAINEURS puisque déjà ils parlent de VOUS, BRAVE ET VALEUREUX SUPPORTERS comme une Horde de Fanatiques, complètement Asociale ALORS QUE C’est eux les Fanatiques des pepetes et ne comprendront JAMAIS en RIEN la FRATERNITE QUI EXISTE aux seins de notre CLUB LE PARIS SAINT GERMAIN … ET NOTRE AMOUR DE NOS VRAIS COULEURS !