Exclu PSGMAG.NET : Sébastien Bazin, Nasser al-Khelaifi et Robin Leproux ont de nouveau rencontré la DNCG ce mercredi après-midi. La vente du PSG se profile…
Nouvelle réunion Bazin-Leproux-al-Khelaifi
Mercredi dernier, la convocation du PSG devant la DNCG avait été annoncée par toute la presse spécialisée, qui s’était présentée en nombre pour rencontrer les futurs propriétaires du club parisien. A contrario, la réunion qui s’est tenue ce mercredi au siège de la LFP s’est faite en toute discrétion. Les journalistes n’ayant pas été au courant de ce rendez-vous, personne n’était présent en début d’après-midi rue Léo Delibes, dans le 16e arrondissement de Paris.
Une nouvelle rencontre a pourtant eu lieu : Sébastien Bazin — représentant de l’actuel actionnaire majoritaire du club (98,4 %) et président du conseil de surveillance du PSG —, Nasser al-Khelaifi — représentant des investisseurs qataris, pressenti pour remplacer Bazin —, Robin Leproux — président du directoire du club — et les avocats du groupe qatari ont rencontré les membres de la DNCG. Comme la semaine passée, la réunion a pris fin peu avant 15 heures.
Finalisation ou modification des termes de la vente ?
Aucune exigence de nouvelle garantie à présenter n’ayant filtré dans la presse après la réunion de mercredi dernier, ce nouveau rendez-vous pourrait signifier qu’un accord final est intervenu au sujet de la vente du PSG. Le fait qu’il s’agisse de la deuxième réunion en une semaine entre les mêmes interlocuteurs a cependant donné naissance à une autre hypothèse, que rien ne permet de confirmer pour le moment : un changement significatif des termes de l’accord présenté mercredi 22 juin pourrait être intervenu durant les dernières heures de la négociation. Or il se dit depuis plusieurs semaines que les investisseurs qataris voudraient racheter dès maintenant l’intégralité des parts de Colony Capital, comme nous le rapportions le 17 juin.
Jusqu’à présent, le souhait du groupe américain de conserver une participation de 30 % au moins d’ici l’attribution du bail emphytéotique du Parc des Princes semblait être un obstacle à cette modification des termes de l’accord discuté entre les deux fonds d’investissement.