Ce qu’il faut savoir
Tout ce dont vous devez prendre connaissance pour être informé de l’actualité du PSG.
L’actu du jour
OM-PSG ce soir à 21h. Ce soir — diffusion à 21h sur Canal+ —, Paris se déplace à Marseille lors de la quinzième journée de la L1. (voir [J15] Marseille-PSG : sans Hoarau, Chantôme ni Tiéné et [J15] Marseille-PSG : Bisevac, Camara ou Lugano ?)
Tiéné forfait, Chantôme en CFA. « Antoine Kombouaré a décidé de laisser Siaka Tiéné (diminué) et Clément Chantôme (en phase de reprise) à la maison, rappelle le Parisien ce dimanche. Celui-ci, buteur l’année dernière au Vélodrome, évoluera en CFA cet après-midi. »
Interdiction des déplacements : pas de protestation des clubs. S’il avait assuré dans un communiqué sur son site officiel qu’il regrettait l’interdiction des déplacements de supporters, l’OM n’a pas tenté de discuter la mesure, révèle le Parisien ce dimanche. « Les deux clubs ont à peine contesté la décision du ministère de l’Intérieur de fermer la tribune visiteurs, confie « un haut dirigeant de la LFP » au quotidien francilien. J’ai demandé aux présidents des deux clubs s’ils voulaient faire appel devant la commission prévue pour ça, ils ne l’ont même pas souhaité. »
À propos de l’arrêté ministériel. Ce dimanche, L’Équipe mentionne en deux phrases l’arrêté ministériel interdisant le déplacement de supporters parisiens entre l’Île-de-France et Marseille ce dimanche, nous vous parlions dès vendredi. « Il semble, cependant, qu’une petite centaine de supporters parisiens aient décidé de se rendre à Marseille aujourd’hui, ajoute le quotidien sportif. Deux cents policiers et CRS seront d’ailleurs déployés près du stade, de la gare et dans le centre-ville. »
« Un contrôle fort sur l’expression du public. » Ce soir, le virage sud du Vélodrome restera silencieux, les SW87 et le CU84 protestant contre l’interdiction des déplacements de supporters lors des matches opposant le PSG à l’OM depuis deux saisons. Sur le site du Monde, le sociologue Nicolas Hourcade réagit à cette situation : « On voit à travers le communiqué de grève des supporters de l’OM une réelle volonté de reconnaissance, car la lutte contre le hooliganisme a débordé à d’autres individus qui, eux, participent à l’animation des stades sans violence. […] Depuis les années 2000, la sécurité s’est globalement améliorée dans les stades mais il demeurait un point noir, à Paris. Toutes les lois pour lutter contre le hooliganisme adoptées depuis 2006 ont fait suite à des incidents impliquant les supporters du PSG. Mais l’on n’implique pas les associations de supporters à la réflexion sur ces décisions. […]
Il faut surtout se poser la question de savoir contre quoi on lutte. La violence, le racisme, la discrimination ? Actuellement je pense qu’on veut surtout avoir un contrôle fort sur l’expression du public, en interdisant les fumigènes, les banderoles… car le terme hooliganisme est un fourre-tout, on y met ceux qui utilisent des fumigènes, consomment du cannabis ou de l’alcool aussi bien que des auteurs de violences physiques graves. Donc cela crée un sentiment d’injustice car certains supporters paient les pots cassés pour d’autres. […] [L’évolution du Parc des Princes] amène à se demander quel est le rôle des supporters. Est-ce que ce sont des clients passifs, des consommateurs, à l’image de ce qui existe dans le système des sports américains ? Ou se situe-t-on dans une tradition qui serait plus européenne, une tradition où les supporters sont des acteurs avec qui on peut discuter. Cela suppose une responsabilisation de leur part et une meilleure reconnaissance de la part des pouvoirs publics. […] En Allemagne [contrairement à l’Angleterre, où le prix des places a augmenté et où l’ambiance s’est affaiblie], on voit toujours des supporters qui chantent, des tifos, des fumigènes, on conserve une dimension de public actif avec un système de dialogue très important. »
Affaire Luyindula : le PSG débouté par le CNOSF. « Le PSG, qui avait saisi le CNOSF afin de faire annuler la décision de la commission juridique de la LFP l’enjoignant de réintégrer Peguy Luyindula dans l’effectif pro, a été débouté, dévoile le Parisien. Par ailleurs, le club a fait appel de la décision de la commission juridique, après avoir mis le joueur à pied le 14 novembre dernier. Cet appel sera étudié mercredi à 16 heures par la commission paritaire d’appel. »
Le PSG et l’investissement de QSi. À l’occasion du match OM-PSG, les articles sur le club parisien se multiplient dans la presse ces derniers jours. L’Équipe et lefigaro.fr reviennent tous deux sur l’investissement de QSi dans le capital du PSG en juin dernier, avec à la clef des chiffres très différents.
« Au printemps, QSi avait acquis 70 % du club pour 40 M€, croit savoir le quotidien sportif. Déduction faite de l’effacement de pertes et de certaines dettes, Colony n’avait récupéré qu’environ 15 M€ pour la vente de la SASP PSG, ce qui valorisait virtuellement 100 % du club à 21,4 M€. » « En rachetant, en mai dernier, 70 % des parts du club de la capitale pour un peu plus de 30 M€, QSi a fait entrer le PSG dans une nouvelle sphère financière, estime de son côté lefigaro.fr. […] “Le club parisien serait valorisé 50 M€ lors de la dernière transaction” [d’après Vincent Chaudel, expert sport chez Kurt Salmon]. »
« Quand Marseille peine à trouver un remplaçant à son actuel sponsor maillot (Betclic) qui verse chaque année près de 7 M€ au club olympien, le PSG attire de nouveaux partenaires comme Citroën, poursuit lefigaro.fr. D’autres n’ont pas hésité à prolonger leur contrat comme PMU ou Red Bull. Au total, environ 1 M€ vient s’ajouter aux 9 M€ que perçoit déjà le PSG grâce à ses principaux sponsors tels qu’Emirates et la société de poker en ligne, Winamax. On est encore loin des 33 M€ que Qatar Foundation verse chaque année au FC Barcelone pour apparaître sur son maillot. Mais pour Vincent Chaudel, ces premières signatures ne sont qu’un début. “Plusieurs sociétés (Qatar Foundation par exemple) gravitent autour de QSi, affirme-t-il. On pourrait donc imaginer que l’une d’entre elles comme Qatar Foundation devienne sponsor du PSG pour consolider son potentiel. Un minimum de 20 M€ par an ne serait pas impossible”. » Précisons que quatre contrats de sponsoring n’ont pas été renouvelés cet été à Paris — Poweo, CGV, le conseil général des Yvelines et Arrow —, et que Citroën est en réalité à la fois sponsor du PSG et de l’OM.
Merchandising et billetterie : quelques chiffres. À l’occasion du match OM-PSG, le Parisien publie quelques données chiffres à propos de l’attraction commerciale du PSG cette saison. « Dans les deux boutiques du club et sur Internet, il y a eu un boom de 180 % par rapport à l’an dernier [concernant les ventes de maillots], assure le journal de Saint-Ouen. Hors réseaux externes (Go Sport, Decathlon, etc.), le club devrait vendre 80 000 maillots cette saison avec Pastore en tête d’affiche. Le chiffre d’affaires merchandising sera de près de 12 M€ pour le PSG en fin de saison, soit une hausse de 60 % par rapport à 2010/2011. Après les charges et les différents frais, il restera environ 2 M€ dans les caisses parisiennes. […]
Paris [compte environ] 16 000 [abonnés]. Le chiffre d’affaires billetterie parisien de cette saison est estimé à environ 30 M€, dont 8 M€ pour les abonnements. »
CFA : PSG-Lille à 14h30. Ce dimanche, l’équipe réserve du PSG (15e) reçoit son homologue de Lille (8e) à 14h30 au Camp des Loges.
U19 : Lille-PSG à 15h. Ce dimanche, les moins de 19 ans du PSG (1ers) se déplacent à Lille (8e) à 15 heures.
U17 : PSG-Le Mans à 15 heures. Les moins de 17 ans du PSG (1ers) accueillent Le Mans (8e) ce dimanche à 15 heures.
Féminines : Hénin-Beaumont-PSG à 15 heures. L’équipe féminine du PSG (4e) se déplace sur la pelouse de Hénin-Beaumont (10e) ce dimanche à 15 heures.
De leur côté, les moins de 19 ans parisiennes (5es) accueillent Cormelles (9e) à 15 heures.
Compléments d’informations
Notre revue de presse de l’actualité du PSG au sens large.
Le dispositif de Canal+. Sur francefootball.fr, Grégoire Margotton présente les différences entre OM-PSG et une rencontre « normale » : « Ce qui change, c’est que tout Canal+ est mobilisé. À l’image du clasico Real-Barça qui aura lieu dans quelques jours. Il y a également deux ou trois caméras supplémentaires. Deux journalistes seront là en plus, chargés d’obtenir quelques infos. Après, pour les équipes techniques, il y a plus de 100 personnes. Heureusement d’ailleurs qu’elles sont là. Avec les nouveaux travaux, le Vélodrome est également beaucoup plus difficile à filmer. Mais on va faire ce qu’il faut pour que l’absence de spectateurs dans la tribune ne se voit pas trop. »
Dugarry et le « nouveau public du Parc ». Fin octobre, Christophe Dugarry se réjouissait dans l’émission Les Spécialistes, sur Canal+, des mesures prises par le PSG depuis l’été 2010, relevant notamment qu’il se faisait insulter en arrivant au Parc des Princes les saisons passées. À en croire Grégoire Margotton, interrogé par francefootball.fr, les choses n’ont pourtant pas beaucoup changé : « Vous savez, à chaque fois qu’on commente, les gens le voient [Dugarry] comme quelqu’un qui un coup vient de Bordeaux, de Marseille ou de Canal+. La semaine dernière, au Parc des Princes, Duga a été insulté. Il a l’habitude. »
Le 100 % de Vahid Halilhodzic face à l’OM. À la veille du match OM-PSG, Michel Kollar revient sur son blog sur le bilan des entraîneurs parisiens face à Marseille, toutes compétitions confondues. « Un 100 % exceptionnel pour Vahid Halilhodzic et des stats mitigées pour Antoine Kombouaré, avec 1 seul succès en 5 rencontres… », relève l’archiviste du PSG. Toujours mieux que Ricardo ou Artur Jorge, qui n’ont jamais connu le succès face à l’OM ! » (voir les stats sur le blog de Kollar)
« L’Italie suit de près le clasico. » « Aujourd’hui, Sportitalia, chaîne de télé de la TNT gratuite transalpine, qui possède les droits de la Ligue 1 depuis le printemps 2010, diffusera en direct à 17 heures Auxerre-Lyon, puis à partir de 21 heures OM-PSG, indique L’Équipe. À chaque journée de championnat, deux matches sont ainsi retransmis par cette télé, et commentés en cabine depuis Milan. Hier, Federico Casotti, trente-trois ans, commentateur de la L1 pour Sportitalia, chaîne qui diffuse aussi les championnats argentin, brésilien et de D2 anglaise, était ravi à l’idée de faire vivre aux téléspectateurs italiens le clasico français : “C’est l’événement principal de notre chaîne ce week-end. Un match comme ça te donne de l’émotion. Il y aura une grande ambiance au Vélodrome.” Casotti est particulièrement sensible à l’attrait du PSG. “Nous avons diffusé en direct toutes les rencontres de championnat de cette équipe cette saison, ainsi que certains de ses matches en Ligue Europa, explique Casotti. Le PSG est un peu devenu la 21e équipe de la Serie A, avec les arrivées en provenance [de Serie A] l’été dernier de Sirigu, Pastore, Sissoko, Leonardo… Et, en Italie, il y a toujours une fascination autour du club de Paris, avec le Parc des Princes.” »
Nene parle du jeu offensif, de Pastore et de son statut. Avant le déplacement à Marseille, Nene a accordé une interview au Parisien. Le Brésilien est notamment interrogé sur le jeu offensif du PSG, très critiqué ces dernières semaines. « Notre football est-il moins fluide ? Non, ça dépend des matches, estime Nene. Chaque rencontre est différente, il s’y passe des choses nouvelles qui expliquent nos prestations. Je trouve que l’équipe joue bien. Parfois, c’est vrai, on ne sait pas finir les actions. On manque d’efficacité dans le dernier geste. C’est normal que les gens nous critiquent, mais on n’a pas encore tous les automatismes. […] Le groupe est-il tombé dans la facilité ? Je ne le pense pas. On ne peut pas tout gagner. Même Barcelone ne remporte pas tous ses matches. On a eu deux dernières sorties moins bonnes. Il y a des moments parfois plus compliqués, d’autres où c’est plus facile et où on marque vite. Mais on ne s’est pas relâchés, même inconsciemment. […]
C’est vrai que Claude [Makelele] nous manque. Il avait une personnalité de leader. On essaye de jouer son rôle à plusieurs : avec Mamadou [Sakho], Marcos [Cearà], Papus [Camara] ou moi. On essaye, les plus anciens, d’être justes dans les bons et les mauvais moments. […] L’objectif du club ? (Il rigole.) On a déjà parlé de cela. J’ai envie du titre. Après, l’objectif est d’être dans les trois premiers. Mais c’est trop tôt pour le dire. Si, à quelques journées de la fin, on peut le jouer…
Pastore ? C’est un mec extraordinaire, simple. Il ne se prend pas la tête et vit bien la pression autour de lui. On va organiser des barbecues avec Diego Lugano. […] Est-ce qu’il me rappelle un grand joueur du passé ? Un peu Zidane. Il a beaucoup de qualités individuelles pour dribbler et il est aussi très fort à la passe. Il pense beaucoup à donner le ballon aux autres. À l’inverse de moi. (sourire) […] Est-ce vrai que je vivais mal l’arrivée de joueurs médiatiques ? Les gens pensent que j’aime la lumière, mais ce n’est pas vrai. Moi, je n’ai jamais parlé de cela. Je l’ai dit, mais on ne m’a pas cru et cela m’a énervé. Je n’ai jamais revendiqué un statut de star dans cette équipe. C’est tant mieux que des joueurs spectaculaires soient arrivés. »
Le Qatar s’était intéressé à l’OM. « Aujourd’hui, les millions et les stars sont à Paris. Le scénario aurait pu être très différent, assure le JDD. Dès 2005 en effet, le Qatar s’était renseigné sur l’Olympique de Marseille. À la demande d’un membre de la famille royale, Luc Dayan avait même rencontré Robert Louis-Dreyfus à Paris. RLD n’étant alors pas intéressé par une vente, les discussions ne sont pas allées plus loin qu’un prix élevé lancé à la volée (200 M€). Quand l’actionnaire (malade et meurtri par son implication judiciaire dans les affaires de l’OM) a changé d’avis, les Qataris sont revenus en approche. Quelques mois après le fiasco de la vente à Jack Kachkar en 2007, un nouvel intermédiaire a contacté le président Pape Diouf, qui l’a dirigé vers son directeur général Julien Fournier. Un dossier a été transmis en novembre 2008 à l’avocat Xavier Boucobza et à Vincent Labrune, alors président du conseil de surveillance. Il est resté sans lendemain. Le contact n’a semble-t-il pas été porté à l’attention de RLD, qui décédera en juillet 2009. Selon Labrune, il n’y a eu “aucune proposition” ces dernières années. »
« Kombouaré en sursis permanent. » Ce dimanche, tandis que le Parisien se contente d’affirmer qu’Antoine Kombouaré n’est « pas menacé par une éventuelle contre-performance ce soir », L’Équipe s’empresse d’ajouter qu’« il subira une pression intense en décembre ».
« Il est parfois difficile de dissiper le flou qui enveloppe certaines interventions publiques de Leonardo, estime le quotidien sportif. Mais, sur ce sujet qui l’expose en première ligne, le directeur sportif du PSG privilégie des mots clairs depuis la défaite face à Nancy, dimanche dernier : “Antoine Kombouaré restera l’entraîneur, quel que soit le résultat à Marseille.” Il est difficile de tracer la frontière, ici, entre une adhésion profonde au travail du Kanak, les difficultés récentes du Brésilien à convaincre Carlo Ancelotti de venir et une communication visant d’abord à alléger l’atmosphère parisienne avant le déplacement à Marseille. Même s’il gagne ce soir, Kombouaré, sous contrat jusqu’au 30 juin 2013, continuera de vivre avec son péché originel : il n’est l’homme ni de “Leo” ni de Doha. Autre “défaut” incurable : il a entraîné Strasbourg et Valenciennes quand sa hiérarchie rêve de CV fleurant bon Londres, Madrid ou Milan. Au contraire de Didier Deschamps, il n’est pas protégé par l’éventuel coût de son licenciement, estimé aux alentours de 2,5 M€. L’est-il par les résultats ? Oui, tant qu’il restera premier. Dans l’agitation post-Bordeaux, Leonardo avait compris qu’il augmenterait la pression sur ses propres épaules s’il virait un entraîneur leader de L1.
Kombouaré a survécu à l’épisode Ancelotti, mais sans s’affranchir de la condition qui est la sienne depuis cet été : il reste le fusible désigné si la courbe de performances du PSG devait continuer à s’enliser d’ici à la trêve, où la fenêtre d’un éventuel changement de coach pourrait se rouvrir. Car même s’il ne risque rien à Marseille, il subira une pression intense en décembre. Sur les résultats, mais aussi sur le style de jeu, rarement éblouissant depuis la victoire face à Lyon. Si Kombouaré reste en place en 2012, il aura probablement encore moins la main sur le mercato de janvier qu’il ne l’a eue sur le marché d’été, au cours duquel “Leo” l’avait suivi sur des cibles comme Milan Bisevac et Blaise Matuidi. Sur le terrain des transferts, Kombouaré a compris depuis longtemps qu’il n’aurait rien à gagner à aller au bras de fer. Il se concentre sur son management au quotidien, lui qui doit maintenir une dynamique positive au sein d’un groupe jamais à l’abri de querelles d’ego ou de petites poussées de fièvre, comme celle qui a opposé jeudi dernier Mathieu Bodmer à Nene. “Mais les tensions entre joueurs, ça arrive trop peu chez nous !, a-t-il lâché hier dans un contre-pied. Quand j’étais joueur, ça arrivait chaque semaine. Mais les médias en parlaient moins.” De son passé de joueur parisien, il est forcé de garder en tête un autre souvenir : il a connu Artur Jorge, cet entraîneur peu glamour, poussé vers la sortie en 1994 à la fin d’une saison où Paris redevint champion… »
Jean-Michel Badiane signe au Paris FC. « Après deux saisons blanches (il a résilié son contrat en avril 2009 avec Sedan), l’ex-international Espoir du PSG Jean-Michel Badiane (28 ans), qui a signé un contrat amateur mardi, effectue ses débuts au PFC [ce dimanche avec l’équipe réserve, qui évolue en CFA 2] », annonce l’édition départementale du Parisien ce samedi.
OM-PSG vu du Qatar. « L’un des supporters les plus prestigieux du choc OM-PSG ne sera pas dans les tribunes du Vélodrome mais devant son poste de télévision, indique le Parisien. “Bien sûr que je regarderai le match, qui, si je ne m’abuse, sera diffusé sur Al-Jazeera, a lâché la semaine dernière l’émir du Qatar à neuf élus français en visite à Doha. Vous savez, je suis de près ce que fait le PSG. J’aime beaucoup Marseille et ma famille et moi aimons séjourner sur la Côte d’Azur. Mais vous comprendrez que je serai du côté du PSG.”
Comme pour toutes les affiches de la L1, Al-Jazeera Sports diffusera le match en direct au Maghreb et au Moyen-Orient. La chaîne de télévision qatarie, qui va devenir un des diffuseurs de la L1 dans l’hexagone pour la période 2012-2016, sera présente à Marseille tout au long du week-end avec des interventions en direct, des reportages et des plateaux où ses consultants (Lama, Dib) distilleront leurs analyses. Enfin, le Qatar sera représenté au Vélodrome par l’entremise de Nasser al-Khelaifi le président du PSG. Celui-ci assistera à ce premier OM-PSG de l’ère qatarie en compagnie de tout son état-major, Jean-Claude Blanc (le directeur général) [DG délégué en réalité, al-Khelaifi étant PDG] et Leonardo (le directeur sportif) en tête. »
Les anciens Parisiens en L2. Alors qu’il n’était plus apparu depuis la 7e journée de L2, Fabrice Pancrate est entré en jeu pour les dernières minutes de la rencontre opposant Nantes à Monaco ce vendredi. Le temps pour lui d’inscrire dans le temps additionnel son premier but pour les Canaris, le troisième de la partie (3-0). L’équipe de Monaco, entraînée par Marco Simone et dont le capitaine est Ludovic Giuly, reste enfoncée à la 20e place au classement.
À Châteauroux, Angers s’est imposé un but à zéro grâce à une tête sur corner de Gaëtan Charbonnier. L’attaquant, passé par la CFA du PSG en 2008/2009, porte ainsi son total à huit réalisations ; il est le deuxième meilleur buteur de L2. À noter également que Florian Makhedjouf est rentré dix minutes pour Sedan, faisant ainsi ses premiers pas en L2. Quant au prêté Jean-Eudes Maurice, il n’a joué que trois minutes lors de la victoire lensoise au Mans.
Montpellier prend la tête (du championnat). Vainqueur 1-3 à Sochaux samedi soir, le MHSC prend la première place de L1 avec trois points d’avance sur le PSG. Lille, qui a battu Brest 2-0, et Rennes, tombeur d’Evian TG 3-2, reviennent de leur côté à deux points des Parisiens.
À noter à Bordeaux le but de Yoan Gouffran face à son ancienne équipe, le SM Caen.
Nene ne s’écrit pas Nenê. « Nene nous a accordé un long entretien jeudi matin, rapporte le Parisien ce dimanche. […] [Il] réaffirme au passage qu’il n’y a pas d’accent sur son nom. » Dont acte.