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Les infos transferts du jour
Kombouaré, le mercato : Leonardo répond. Mercredi après-midi, Leonardo était l’invité de Luis Fernandez sur RMC. Il a évoqué tous les sujets qui font les gros titres ces derniers jours, à commencer par la rumeur Ancelotti : « On avait la possibilité de changer [d’entraîneur en début de saison]. C’était un choix de garder [Kombouaré]. On n’a jamais pensé à faire signer Carlo Ancelotti. Antoine est l’entraîneur. Et si on perd à Marseille, il restera l’entraîneur. Ira-t-il jusqu’à la fin de la saison ? C’est l’idée. […] Je ne pensais pas devoir m’exprimer autant en arrivant ici. Vous connaissez le directeur sportif de Manchester United ? Non, vous connaissez le propriétaire et l’entraîneur. Maintenant, je n’ai aucune peur d’être exposé. J’ai été entraîneur de l’Inter. Plus exposé que ça, ce n’est pas possible ! (rires) Mais je ne suis pas sûr qu’un dirigeant ait le devoir de parler tout le temps. Après les critiques sont normales. »
Le directeur sportif parisien a également été interrogé sur le mercato. Il a notamment confirmé ses discussions avec Beckham et son intention de garder Erding (voir plus bas). « Le mercato est une question d’opportunités, a-t-il expliqué par ailleurs. Il y a beaucoup de choses à étudier. Aujourd’hui, le PSG est entré dans le jeu. Beaucoup de joueurs veulent venir. Il y a des joueurs qui m’appellent tous les jours pour nous rejoindre. Mais si, en tant que directeur sportif, je parle avec quinze personnes. Ça ne veut pas dire qu’on va recruter quinze personnes. »
« Sans pression, il n’y a rien dans le football. Ici, dans la ville, il n’y a pas trop de pression, a enfin estimé Leonardo. Hors de la presse et de nos discussions internes, on est tranquilles. Et ça, de temps en temps, ça m’inquiète. Parce c’est bien aussi de sortir et voir des gens qui vous disent : “Tu n’as pas gagné !” Je parle d’une pression positive bien sûr. »
Beckham fait durer le suspense. Si la MLS est désormais terminée, après la victoire de son club en finale, David Beckham n’est pas encore en vacances. Sous contrat jusque fin décembre, il participera la semaine prochaine à une tournée en Australie, aux Philippines puis en Indonésie avec le club américain. D’ici là, son avenir reste incertain. « Tandis que David Beckham assure qu’il n’a pas décidé de son avenir, le PSG semble tenir la corde, croit savoir L’Équipe ce jeudi. […] À force de vivre près d’Hollywood, David Beckham a appris à maîtriser l’art du suspense. Il en découle, ces temps-ci, une communication à souffler le chaud et le froid, aux frontières de ce bluff qui enveloppe souvent les grands transferts. “Je n’ai jamais parlé à Leonardo”, avait assuré la star anglaise, mardi, dans une interview à Sky Sports. Réplique du directeur sportif du PSG, hier, sur RMC : “On a parlé. Il n’a même pas besoin de me raconter l’histoire.” Sur ce point, c’est plutôt le Brésilien qu’il faut croire, même si les aspects business de l’opération sont traités directement par des représentants de Qatar Sports Investments, l’actionnaire principal du PSG (70 %). Alors que le contrat de “Becks” au Los Angeles Galaxy expire le 31 décembre, il semble encore difficile de décrypter les intentions de l’ancien capitaine de l’équipe d’Angleterre, qui s’évertue surtout, jusqu’à présent, à gagner du temps. Au début du mois, il expliquait qu’il ne dirait rien avant la finale de la Major League Soccer, remportée, dimanche dernier, face au Houston Dynamo. Depuis ce premier titre sur le sol américain, il dit qu’il attendra la fin de la tournée exhibition du Galaxy en Asie (du 26 novembre au 6 décembre) pour dévoiler le nom du club dont il portera les couleurs en 2012.
Le club californien tente encore de convaincre Beckham de prolonger, en lui proposant notamment une parenthèse estivale pour participer aux JO de Londres avec l’équipe du Royaume-Uni, ainsi qu’une option pour devenir le propriétaire d’une franchise de MLS une fois sa carrière achevée. Avant de s’envoler pour l’Asie, Beckham doit célébrer la fête de Thanksgiving avec son ami Tim Leiweke, le patron d’AEG (le groupe propriétaire du Galaxy), à l’origine de sa venue aux États-Unis, en juillet 2007. Outre-Atlantique, plusieurs observateurs y voient une réunion de la dernière chance pour un club qui ne serait plus, aujourd’hui, l’option n°1 de Beckham, même s’il adore sa vie de famille à Los Angeles. “Il est très excité par l’idée de rejouer en Europe”, répète l’entourage de l’ancien joueur de Manchester United, du Real Madrid et de l’AC Milan. En coulisses, ni le PSG ni le clan Beckham ne laissent cependant filtrer l’imminence d’un accord définitif. Mais l’affaire continue de prendre forme, QSi se montrant déterminé à faire de l’Anglais le porte-drapeau du développement international du PSG. »
De son côté, le Parisien assure que « les négociations portent toujours sur les retombées merchandising. La star anglaise exige en effet que 20 % environ des revenus générés par sa présence à Paris lui soient reversés. Dans les prochains jours, le club de la capitale devrait lui adresser une nouvelle proposition, très proche de ses exigences. Pour définitivement le convaincre, le PSG réfléchit à lui proposer, à l’issue de son contrat d’un an et demi, un rôle d’ambassadeur. »
Jallet aussi intéresserait Bordeaux. Alors que le Parisien et Sud-Ouest faisaient état d’un intérêt de Bordeaux pour Erding, L’Équipe affirme ce jeudi que Christophe Jallet serait également dans le viseur des Girondins : « Bordeaux a repris les négociations avortées l’été dernier pour faire venir l’attaquant parisien Mevlüt Erding (24 ans, sous contrat jusqu’en 2014). Des négociations qui s’annoncent compliquées puisque, interrogé hier sur l’antenne de RMC, Leonardo a réaffirmé son intention de conserver l’attaquant turc : “On comprend que c’est difficile pour un joueur de ne pas jouer. Surtout s’il a beaucoup de propositions, a expliqué le directeur sportif du PSG. Mais aujourd’hui, l’idée, c’est de le faire rester.”
Les Girondins s’intéresseraient également à Christophe Jallet (28 ans, sous contrat jusqu’en 2015). L’entraîneur bordelais, Francis Gillot, a fait de la quête d’un latéral droit sa priorité. Si le club piste plusieurs Brésiliens, dont Mariano (25 ans), qui évolue à Fluminense, le Parisien présente l’avantage de ne pas nécessiter de temps d’adaptation et pourrait venir en prêt. Le responsable de la cellule de recrutement, Jérôme Bonnissel, était au Parc des Princes, dimanche, lors de la défaite du PSG face à Nancy. »
Autres rumeurs : Belhanda, Hamsik, Cavani. « Les Qataris affichent toujours une volonté d’attirer à court terme un joueur prometteur d’origine arabe, assure L’Équipe. Après Adel Taarabt (Queens Park Rangers), c’est désormais le Montpelliérain Younès Belhanda (21 ans) qui figurerait dans le viseur des propriétaires du PSG pour le prochain marché hivernal (du 1er au 31 janvier). Des émissaires de QSi auraient d’ailleurs tenté de sonder Belhanda lors du dernier rassemblement de l’équipe du Maroc, au début du mois.
De son côté, Leonardo — qui voit le PSG buter sur le dossier du Lillois Eden Hazard — continue de creuser d’autres pistes offensives, notamment celle menant au Napolitain Marek Hamsik (24 ans). Pour recruter l’international slovaque au milieu de la saison, le PSG pourrait avoir à débourser pas loin de 25 M€. Le club envisage d’investir près du double, l’été prochain, pour s’offrir l’un de ses coéquipiers, l’attaquant uruguayen Edinson Cavani (24 ans), auteur d’un doublé face à Manchester City, mardi, en Ligue des champions. Avec ce PSG qui vit désormais dans une atmosphère de mercato permanent, il est fort possible que le record du transfert de Javier Pastore (42 M€) ne tienne pas plus d’un an. »
Le reste de l’actu du jour
Le PSG s’affranchit de Sportfive. Ce jeudi, L’Équipe révèle que les nouveaux actionnaires du PSG reprennent la main sur la gestion du sponsoring et des relations publiques. « Selon nos informations, les propriétaires du PSG ont dénoncé, lundi par lettre recommandée, le contrat qui lie le club à Sportfive, l’agence de marketing sportif du groupe Lagardère, assure le quotidien sportif. Signée de la main de Jean-Claude Blanc, le nouveau directeur général délégué du club, cette missive met fin à un bail de dix ans qui devait normalement s’achever au terme de la saison 2018/2019. Mais le PSG ne s’est pas mis à la faute, car il était possible de sortir de ce contrat en respectant, comme cela a été fait, un préavis. Depuis plusieurs saisons, Sportfive gère le marketing et les loges du PSG en assurant au club autour de 18 M€ de recettes annuelles. Une somme sur laquelle l’agence ponctionne une commission de 13 %.
En 2009, une avance de 10 M€ a également été octroyée par Sportfive au PSG. Le club parisien a commencé à rembourser ce prêt, mais il doit encore 8,5 M€ à l’agence. À l’avenir, Jean-Claude Blanc, arrivé aux commandes au début du mois, va, selon toute vraisemblance, piloter lui-même les affaires commerciales du club. Ancien dirigeant d’ASO (Amaury Sport Organisation, qui appartient, comme L’Équipe, au groupe Amaury), à la fin des années 1990, il est un professionnel reconnu. Mais surtout, les Qataris ne veulent pas s’embarrasser de la moindre contrainte. Et ils ne voient pas l’intérêt de verser une commission à un intermédiaire à l’heure où leur club est en train de changer de dimension. Pour l’instant, les deux principaux partenaires du PSG sont Fly Emirates (3,5 M€ par an), le sponsor maillot, et Nike, l’équipementier, qui verse autour de 4 M€ annuels. Tous deux sont liés jusqu’en 2014. Pour Sportfive, il s’agit d’un coup dur. Un de plus, car l’agence a déjà perdu un autre contrat historique, en 2010, avec la FFF. » (relire [Enquête] Le chiffre d’affaires du PSG décortiqué)
OM-PSG : Canal+ prépare le terrain. À quelques jours du match OM-PSG, le groupe Canal+ mobilise ses antennes pour faire monter la sauce. Le site enpleinelucarne.net détaille les rendez-vous de la semaine chargés de rappeler aux téléspectateurs l’imminence du « clasico » : mercredi, l’émission Les Specimens réunissait les anciens dirigeants de l’OM et du PSG Pape Diouf, Christophe Bouchet, Jean-Michel Moutier et Charles Villeneuve ; dans la soirée Ligue des champions, Gérard Houllier, ancien entraîneur parisien, devait évoquer OM-PSG tandis qu’une interview de Javier Pastore était diffusée à la mi-temps de Marseille-Olympiakos ; samedi après-midi, Jean-Pierre Papin et Daniel Bravo « revisiteront les grandes images et les grands moments de l’histoire du clasico », tandis que « les envoyés spéciaux de Canal+ interviendront en direct des entraînements et conférences de presse de la journée », puis Jour de Foot proposera des directs devant les hôtels des deux équipes et dans les rédactions de La Provence et du Parisien ; enfin dimanche, le Canal Football Club proposera plusieurs sujets sur le match, à partir de 19h20 — le debrief sera quant à lui exceptionnellement prolongé jusqu’à 23h25.
Les conseils de Bernard Tapie. Ce jeudi, à trois jours du match OM-PSG, le Parisien a interrogé Bernard Tapie. « J’ai compris assez vite que mon club ne pourrait jamais être champion d’Europe sans un championnat de France de bonne valeur, explique l’ancien président marseillais. C’est pour cette raison que j’ai poussé à mort pour que Canal+ rachète le PSG pour en faire un grand club. De la même manière, j’ai incité Jean-Michel Aulas à s’investir à Lyon. Ensuite, il m’est arrivé bien sûr de jouer la carte de la provocation pour faire monter la tension avant un match contre le PSG. […] Le meilleur président du PSG depuis mon époque ? À part Michel Denisot ? Je citerais Alain Cayzac. C’est quelqu’un de bien qui a essayé de faire de son mieux avec les faibles moyens à sa disposition. […] La clé d’un recrutement réussi ? Souvent, les patrons de club ont fait des grosses erreurs. À Bordeaux, à Rennes, à Marseille ou à Paris, il y a eu beaucoup d’argent dépensé lors de ces dix dernières années mais échelonné dans le temps. Deux joueurs arrivaient une année, deux autres partaient l’année suivante. Pour que ça marche, il faut frapper un très grand coup. Cela a toujours été ma méthode à l’OM. […] On m’a appris une règle d’or. Pour connaître le réel potentiel d’une équipe, il faut regarder le niveau des cinq moins bons joueurs. Il ne faut pas se contenter d’aligner quelques stars. Quand tu as deux joueurs sublimes dans une équipe moyenne, ce sont les joueurs sublimes qui deviennent moyens. Pas l’inverse. […] Je trouve que les Qataris ont bien fait d’investir autant d’un seul coup. On verra si le succès est au rendez-vous. Mais attention : l’effectif de ce PSG n’a encore rien à voir avec celui de l’OM des années 1990. C’est incomparable. À l’époque, il y avait sur le banc des remplaçants entre deux et cinq joueurs internationaux ! À Paris, actuellement, personne n’est un titulaire indiscutable en sélection. Ni Gameiro, ni Nenê, ni Ménez, ni Pastore. Il faut être prudent sur le futur du PSG. C’est le palmarès d’un joueur qui situe son standing, pas le montant de son transfert. »
Tapie évoque ensuite les deux principales rumeurs concernant le PSG actuellement : « Quand tu as David Beckham dans ton équipe, le monde du football, même les arbitres, ne te regarde plus de la même façon. Quand j’ai engagé Franz Beckenbauer en 1990, on pensait que c’était uniquement pour ses qualités d’entraîneur. Mais c’était aussi pour le prestige. Dès son premier match de coupe d’Europe, quand il est allé saluer l’arbitre, celui-ci lui a demandé de signer le ballon de la rencontre. L’objectif était atteint : en deux minutes, la notoriété de l’entraîneur était mise au service de mon club. […] Pourquoi faire semblant ? L’influence psychologique que peut exercer une grande personnalité ou un grand club est fondamentale. On a dit tellement de conneries sur la corruption du corps arbitral : les enveloppes, les putes ou les montres en or ! On oublie le facteur humain. Un arbitre aura toujours beaucoup plus de mal à siffler un penalty à l’encontre du Real Madrid que contre Auxerre. […] En dehors de la France, qui connaît vraiment le PSG ? La saison prochaine, si Paris joue la Ligue des champions avec Beckham dans son effectif, le monde entier parlera du PSG. Pas seulement parce qu’il sera devenu champion de France mais parce qu’il aura une star mondiale dans son effectif.
Leonardo aurait-il raison de recruter Ancelotti pour une question de standing ? Attendez… Ne comparez pas la notoriété de Carlo Ancelotti avec celle de Beckham. Ce n’est pas Ancelotti qui va faire vibrer les foules. Il n’y a que deux stars parmi les entraîneurs : José Mourinho et Pep Guardiola. Ce sont les deux seuls qui pourraient faire changer la dimension d’un club comme le PSG. […] Je ne sais pas si Ancelotti ferait mieux que Kombouaré… Mais il y a mille raisons possibles qui peuvent pousser Leonardo et les Qataris à réfléchir à son remplacement. La seule chose qui compte, c’est leur appréciation du rapport entre la qualité de l’effectif mis à la disposition de l’entraîneur et ce qu’il arrive à en tirer sur le terrain. OK, le PSG est leader. Mais, si tout le monde s’emmerde au stade ou si l’équipe perd à domicile contre Nancy, ça me paraît normal de songer à remplacer Kombouaré. Même si cela peut s’avérer être une erreur. »
PSG-Lille diffusé sur Canal+. Le match PSG-Lille sera retransmis en direct sur Canal+ dimanche 18 décembre 2011 à 21 heures. (voir TV : PSG-Lille diffusé sur Canal+ le 18 décembre)
Le PSG primé « école féminine de football ». « La formation parisienne a été honorée ce mardi soir au Camp des Loges, annonce PSG.FR. Le club de la capitale s’est vu remettre dans la salle des trophées du centre d’entraînement parisien la distinction d’“école féminine de football” par la Ligue de Paris Île-de-France. Un titre qui met en valeur le travail effectué par le PSG auprès des plus jeunes pratiquantes, dans le cadre d’une opération menée par la fédération française de football avec l’enseigne Carrefour, partenaire de l’opération. »
« Le PSG est très fier de cette récompense, a réagi Simon Tahar, le président de l’association PSG — responsable de toutes les équipes féminines du club —, sur le site de la LPIFF. Nous nous sommes engagés depuis trois ans sur ce projet de football féminin, pour que toutes les composantes du club portent haut nos couleurs. Les pros bien sûr, mais aussi les jeunes et les féminines. Et les très bons résultats obtenus la saison passée vont en ce sens, puisque notre équipe fanion a fini 2e en D1 et participé pour la première fois de son histoire à la Ligue des champions, nos U15 ont terminé à la 1ère place de leur championnat, et nos U19 à la 2e. Enfin, nos efforts fournis en faveur de l’école de foot sont également exemplaires, comme en témoigne cette récompense. Quand je vois le sourire de mes princesses, je me dis que je n’ai pas de souci à me faire sur l’avenir de nos féminines. »
« C’est le fruit de l’excellent travail de toute une équipe composée d’éducateurs, de dirigeants et de parents motivés, qui contribuent, avec l’équipe administrative, à mener à bien différentes actions lors de diverses manifestations, a estimé Valérie Mercier, responsable de la section jeunes féminines du PSG. Notre association accueille 85 licenciées, des catégories U6 à U18, encadrées par 8 éducateurs et 11 dirigeants, dont 24 petites à l’école de foot (U6-U11), encadrées par 4 éducatrices et 2 dirigeantes. Les entraînements se déroulent le mardi de 18h à 19h30 au Camp des Loges. Cette école de foot est répartie en deux groupes. Le groupe U6-U9 coaché par Léa Rubio [internationale française du PSG] et Kathlyn Marchal [joueuse U18, blessée cette année]. Le groupe U10-U11 coaché par Sonia Okpo Dano et Marie Pinto [joueuses de DH]. Lors des rencontres de notre équipe phare, nos petites accompagnent les joueuses de D1 lors de leur entrée sur le terrain. Et chacune d’entre elles est parrainée par une joueuse U15 ou U18, afin de créer une vraie cohésion entre toutes. Nous attachons une grande importance à la communication, la convivialité, aux valeurs humaines, qui sont indispensables dans le développement et la vie d’un club. Le but principal de cette école de foot est de donner envie aux jeunes de partager leur passion et de leur permettre de progresser. Ce sont elles l’avenir du club. »
Compléments d’informations
Notre revue de presse de l’actualité du PSG au sens large.
Le complot anti-Auxerre. « Le dimanche, à Auxerre, c’est souvent ni messe ni décrassage, c’est match de L1, indique L’Équipe. Cette saison, les Bourguignons ont disputé sept rencontres à domicile : trois le samedi et quatre le dimanche après-midi. Si l’on ajoute les deux prochaines (Lyon ce week-end, Nice le 11 décembre), L’AJA aura joué six de ses neuf matches à l’Abbé-Deschamps le dimanche. Une situation unique en Ligue 1 qui agace profondément le club. “C’est une connerie manifeste des gens qui nous diffusent et de la Ligue, peste son président, Gérard Bourgoin. Peut-être y a-t-il là-dedans un peu d’anti-Auxerre ? On a changé de direction, de staff, ça ne plaît pas à tout le monde.” »