Ce qu’il faut savoir
Tout ce dont vous devez prendre connaissance pour être informé de l’actualité du PSG.
Les infos transferts du jour
Leproux : « À Colony de savoir s’il veut réinvestir… » « On est en ligne avec nos objectifs, qui étaient de finir sixième ou cinquième et de retrouver le Stade de France, estime Robin Leproux dans L’Équipe. On est un club en progrès. Les premières places ou la Ligue des champions, c’est du super bonus pour nous. Quand je suis arrivé au PSG, il était, en moyenne, onzième dans ce championnat. Aujourd’hui, on est armés pour battre Lyon. Cette saison est un tournant qu’il faut réussir. […] Serait-ce une catastrophe économique de ne pas se qualifier pour une compétition européenne ? Le mot est trop fort mais ce serait un coup d’arrêt dans notre progression. On perdrait une année et perdre une année à Paris n’est pas acceptable. […] On n’a pas une pression insoutenable car on a budgété la place de sixième. Néanmoins, on a une pression sportive car il ne faut pas vivre de regrets. » Et le président parisien de conclure qu’un effort de Colony Capital serait souhaitable pour accélérer la progression du club : « Ces deux dernières années, j’ai cherché à enrichir le PSG. Et je dirai qu’on l’a fait, estime . En prolongeant certains joueurs, en cédant un remplaçant cet hiver, on a réalisé de belles affaires. La situation de l’actif joueurs du club n’a jamais été aussi bonne depuis très longtemps. Maintenant, c’est à mon actionnaire [Colony Capital] de savoir s’il veut réinvestir parce qu’il pense qu’on peut atteindre rapidement la Ligue des champions. » Robin Leproux a par ailleurs indiqué qu’il était satisfait de sa collaboration avec Antoine Kombouaré : « On a effectué un travail de qualité ces deux dernières saisons. J’ai grand plaisir à travailler avec lui, il a toute ma confiance. Je souhaite qu’il reste pour ses deux dernières années de contrat. Mon projet, je l’ai construit avec lui. »
Kebano et Bahebeck bientôt pros ? « Neeskens Kebano (19 ans) et Jean-Christophe Bahebeck (17 ans), encore sous contrat de stagiaire, devraient prochainement signer leur premier contrat professionnel avec le PSG », croit savoir L’Équipe.
Le reste de l’actu du jour
PSG-Lyon : Giuly incertain. « Déjà ménagé le week-end dernier, à Caen, en raison d’une douleur aux adducteurs, Ludovic Giuly (34 ans) est incertain pour la réception de Lyon demain, estime L’Équipe. Cette fois, il souffre du mollet gauche. Hier matin, le milieu droit parisien est resté aux soins, pendant que certains de ses coéquipiers participaient à un tennis-ballon. Il a vu un ostéopathe dans l’après-midi. En fin de journée, il se sentait déjà plus confiant sur sa participation. Un dernier test doit être effectué aujourd’hui lors de la séance à huis clos. » Le quotidien sportif estime que « si Giuly est apte à jouer, Christophe Jallet devrait retrouver son poste de latéral droit et Cearà le banc de touche », et annonce l’équipe suivante : Coupet Tiéné, Sakho, Armand, Jallet ou Cearà — Makelele, Chantôme — Nenê, Bodmer, Giuly ou Jallet — Erding. Antoine Kombouaré communiquera ce samedi en fin d’après-midi la liste des joueurs retenus dans le groupe.
Un stage à Pékin en début de saison ? « Le PSG devrait effectuer un stage de préparation d’une semaine à Pékin, du 13 au 20 juillet, et disputer deux rencontres amicales en Chine, dont l’une, probablement, face à l’Ajax Amsterdam », croit savoir L’Équipe.
Rénovation du Parc : Leproux s’impatiente. « Aujourd’hui, on n’a pas de loge, on n’est même pas tout à fait aux normes UEFA en longueur de sièges, il y a des travaux considérables à faire, déclare Robin Leproux dans L’Équipe à propos de la rénovation du Parc des Princes. J’espère que les travaux vont commencer à la fin de la saison prochaine. »
CFA : Lyon-Duchère-PSG. L’équipe réserve du PSG (12e) se déplace sur le terrain de Lyon-Duchère (14e) à 18 heures ce samedi. L’édition départementale du Parisien annonce le groupe suivant : Areola, Sail — Sabaly, Landre, Diarra, Paupin, Makonda — Baldé, Makhedjouf, Garnier, Hery, Nguema — Kamghain, Qasmi, Ayina. Areola est de retour, mais També (orteil) et Rimane (genou) sont blessés, tandis que Coulibaly, K. Traoré et Touré sont toujours en sélection (Mali U20).
U17 : Rennes-PSG. À 15 heures, ce samedi, les moins de 17 ans du PSG (1ers) se déplacent sur la pelouse du Stade rennais (2e).
Caen-PSG : plainte pour dégradations ? « Le SM Caen a déposé plainte contre X après les dégradations constatées à l’issue du match face au PSG, samedi dernier, annonce L’Équipe. […] Caen demande le remboursement du matériel dégradé (plusieurs milliers d’euros). Les services de police sont venus visionner les bandes au stade Michel-d’Ornano et pourraient utiliser les 200 contrôles d’identité effectués par le club normand pour identifier les fauteurs de trouble et réclamer des interdictions de stade. » Les contrôles d’identité n’ont en réalité pas été effectués par le club normand, mais par les forces de l’ordre, sur instruction du préfet du Calvados. Par ailleurs, le quotidien sportif assure que « des ultras du PSG s’étaient regroupés dans les hauteurs du stade Michel-d’Ornano, partagés entre mouvance Auteuil et mouvance Boulogne. Ils ont fait usage de bombes agricoles et d’engins pyrotechniques, ont détérioré des sièges et se sont battus dans les travées. » La « mouvance Auteuil » correspond à la trentaine d’anciens abonnés d’Auteuil qui ont allumé quelques pétards, tandis que la « mouvance Boulogne » désigne — de façon erronée — l’association Liberté pour les abonnés (Auteuil et Boulogne), les ex-Lutece Falco (Auteuil) et les Karsud (Auteuil). Une bagarre, sans rapport avec la rivalité Auteuil-Boulogne, avait opposé quelques supporters parisiens. Aucun fumigène n’avait été allumé. Quant aux sièges détériorés, ils l’avaient été involontairement — durant l’interpellation des supporters impliqués dans la bagarre essentiellement. Ce samedi, francefootball.fr reprend à son compte ces erreurs, en déformant encore un peu plus la réalité : « À la fin du match, les Ultras des anciennes tribunes rivales Boulogne et Auteuil s’étaient battus, détériorant des sièges et faisant usage de bombes agricoles et d’engins pyrotechniques. Quatre personnes avaient été placées en garde à vue. Grâce aux images de vidéosurveillance et aux contrôles d’identités effectués avant le match, la police espère retrouver les fauteurs de trouble et prononcer des interdictions de stade. » Aucun incident n’a eu lieu à la fin du match — la bagarre, sans rapport avec la rivalité Auteuil-Boulogne, avait éclaté en fin de première période —, aucun supporter n’a été placé en garde à vue, enfin les contrôles d’identité avaient été effectués à l’issue du match, et non avant.
Caen-PSG : quelles interpellations ? Selon le témoignage d’un supporter parisien interpellé samedi à Caen « après que celui qui portait un t-shirt serbe, qui a déclenché la bagarre, m’est tombé dessus dans la bousculade », tous les supporters interpellés ont été relâchés avant la fin du match, après visionnage des bandes de vidéo-surveillance, sans que rien ne leur soit notifié. Il indique au contraire avoir assisté à une dispute entre RG et « responsables de la sécurité ou policiers en civil, impossible à dire », les premiers reprochant aux seconds de n’avoir pas arrêté les bonnes personnes.
Compléments d’informations
Notre revue de presse de l’actualité du PSG au sens large.
Aulas, Leproux et la compétitivité des clubs français. Durant une interview croisée avec Robin Leproux, Jean-Michel Aulas a présenté les sujets qui lui semblent prioritaires pour accroître la compétitivité des clubs français : « Il y a trois niveaux d’urgence : 1. Si on veut avoir des actionnaires qui viennent à côté de Colony Capital ou de Pathé [actionnaire de l’OL], il faut modifier la loi sur le sport demain matin, en permettant aux clubs d’avoir la pleine propriété de leur numéro d’affiliation [aujourd’hui détenu par les associations]. 2. Autour de Canal+, il faut des partenaires qui permettent de valoriser les droits télé sinon on ne pourra pas être compétitifs. 3. Voter une loi sur l’Euro 2016 qui permette une liberté d’avancer rapidement et de ne pas être gêné par n’importe quelle minorité qui veut faire de la gestion des recours son activité professionnelle. Il faut savoir où est l’intérêt général. » De son côté, Robin Leproux s’est une nouvelle fois plaint que la LFP ne fasse pas appel à ses compétences — il a présidé le groupe RTL et été vice-président du groupe M6 — dans la préparation du prochain appel d’offres pour les droits de la L1.
Coupet : « Croire en nos chances. » Dimanche soir — à 21h sur Canal+ —, Lyon viendra défier le PSG au Parc des Princes pour une rencontre décisive dans la course au podium de la Ligue 1. Malgré la pression, l’ancien Lyonnais et actuel portier parisien Grégory Coupet s’est montré particulièrement impatient en conférence de presse d’avant-match : « Ce qui est redoutable avec Lyon, c’est cette faculté de savoir gérer ces moments-là. Face à Caen, nous avons parfois manqué de maîtrise dans l’évolution du score et dans la maîtrise du jeu. Je crois que justement, Lyon dans ce domaine là est mieux armé. Maintenant, on est face à un adversaire qui n’est pas complètement irrésistible cette saison donc essayons de croire en nos chances. C’est sur que Lyon est meilleur sur le papier, maintenant sur 90 minutes tout est envisageable. […] Il faut continuer de jouer comme nous le faisons. Nous avons montré que par le jeu on était capable de battre tout le monde, notamment Lyon. Cela leur donne aussi une volonté de revanche supplémentaire, donc un léger handicap de plus pour nous. Je crois qu’avec les derniers résultats, on est en passe de vivre une grande soirée. En tant qu’acteur on a envie de faire un grand match. Ce match-là fait parti des grands matches de la saison. On revient de loin. Si on regarde deux ou trois journées en arrière, on était mal placés pour envisager que ce match pourrait nous donner l’opportunité de revenir en haut. » À quelques semaines de la retraite, Coupet vit les derniers instants de sa longue carrière avec plaisir : « Ce n’est que du bonheur. À mon stade, je m’impose toujours une pression, pour mon ego, mon orgueil personnel. Quoi qu’il arrive, dans un mois et demi c’est fini, alors je savoure. J’ouvre grand mes oreilles et mes yeux et je me mets encore plus de pression pour finir en beauté. Si le PSG a du mal à trouver un gardien, je les aiderai à le faire. (sourires) Ce serait une énorme fierté pour moi que de laisser le PSG en Ligue des champions. » Outre cet objectif, le PSG peut encore espérer s’imposer en coupe de France : « Cette coupe est magnifique. J’ai quitté Lyon sur un doublé il y a trois ans. En 11 ans à Lyon, j’ai eu la chance de connaître une progression linéaire. Chaque année il y avait une progression. Maintenant, quitter le PSG sur un trophée et une qualification en Ligue des champions serait parfait. » (source : PSG.FR)
Selon Puel, Lyon aurait un avantage psychologique. Interrogé par football365.fr, Claude Puel a déclaré qu’il estimait son équipe en meilleure position pour remporter cette rencontre face au PSG : « Comment j’appréhende ce match ? Bien, parce que c’est un match super intéressant à disputer. Le PSG vient de réussir un très bon résultat à Caen et nous nous sommes replacés au classement. C’est donc un match important pour les deux équipes. Un match de prestige, comme toujours à Paris, d’autant que nous sommes proches au classement. » L’entraîneur lyonnais estime par ailleurs que les deux confrontations précédentes entre l’OL et le PSG — 2-2 à Gerland en L1, victoire du PSG 1-2 en prolongations en coupe de la Ligue — auront un effet positif sur ses joueurs : « Ces matches ont été joués à une certaine période. En championnat, le nul était équitable alors qu’en coupe de la Ligue, c’était une défaite après prolongations alors qu’on avait le match en main. Je ne pense pas qu’ils aient un avantage psychologique sur nous. Au contraire. »
Rothen va retrouver le Parc des Princes. Sans club depuis son départ du PSG, Jérôme Rothen va reprendre contact avec le Paris Saint-Germain dimanche soir. Pas pour y revenir en tant que joueur, mais pour commenter la rencontre, annonce le Parisien : « [Jérôme Rothen] va, pour la première fois en direct et dans un stade, commenter un match de foot à la radio. L’ancien Parisien sera en effet au micro pour PSG–Lyon, dimanche soir (21h), sur France Bleu 107.1, aux côtés du journaliste Bruno Salomon. » Le quotidien estime par ailleurs que « l’AC Ajaccio, actuellement 3e de L2, serait intéressé par le joueur en cas de montée en Ligue 1 ».
Le sélectionneur des Espoirs au Parc. Erick Mombaerts sera au Parc des Princes ce dimanche pour superviser le match PSG-OL, d’après francefootball.fr.
Dramé fait débat. Après l’avoir taillé la semaine passée — « ses contrôles à deux mètres, ses dégagements dévissés, ses marquages élastiques font souvent craindre le pire, mais il s’en sort toujours » —, L’Équipe s’intéresse ce samedi au jeu de Boukary Dramé, en se basant sur ses statistiques. « L’international sénégalais [Boukary Dramé] remporte 59 % de ses duels (source Opta), indique ainsi le quotidien sportif. Sur le plan technique, en revanche, les stats chutent, excepté pour les passes réussies (85 %, deux décisives cette saison) : il rate 81 % de ses centres et ses dribbles ne sont couronnés de succès que dans 35 % des cas. “Techniquement, je ne suis pas un phénomène, mais je suis correct, se défend-il, pas rancunier. Avec ma façon de courir, on a l’impression que je suis lourd. Sur les vidéos, je vois comment je suis et d’autres me chambrent aussi, c’est comme ça. On ne peut pas plaire à tout le monde.” […] Jacques Faty ne comprend pas le procès intenté à son camarade de sélection : “Ce qu’il fait n’est peut-être pas stylé, ce n’est pas un latéral des temps modernes comme Évra ou Clichy, il est plus robuste (1,80 m, 75 kg), plus défensif. Mais, quand je suis dans l’axe gauche, j’ai une totale confiance en lui. Il a toujours rendu des copies propres. Il n’est pas beau à voir ? On s’en fout s’il est bon !” Emprunté dans ses prises de balle, dans ses transmissions longues (aucune passe en profondeur cette saison), le latéral sochalien, qui semble parfois assez mal coordonné, est “atypique, selon entraîneur Francis Gillot. Quand au PSG, il était très bon défensivement, mais je trouvais qu’il n’apportait pas assez dans le jeu. Aujourd’hui, il se présente plus et mieux devant, je dois même le freiner.” Toujours sur un fil, Dramé (75 matches de L1) coûte finalement assez peu de buts à son équipe et Gillot n’attend pas autre chose : “Il se met parfois dans de drôles de situations, mais il s’en sort toujours.” Et quand on a demandé à Dramé s’il pensait avoir le niveau pour évoluer en L1, celui qui a été formé au PSG, sourire en coin, a rétorqué : “Venez participer à une séance, vous verrez !” Avec 79 % de tacles réussis cette saison, on préfère le croire sur parole. »
Potillon et le « dictateur » Vahid Halilhodzic. Football 365 a pris des nouvelles de Lionel Potillon, au PSG de 2001 à 2003 : « J’ai arrêté le football en 2007 avec Sochaux lorsque nous avions remporté la coupe de France. Immédiatement, j’ai repris mes études à la faculté de Rouen où j’ai étudié un master de marketing et management du sport professionnel. En parallèle, je suis revenu à Saint-Étienne où j’ai intégré le service marketing et développement du club. […] Je m’étais complètement préparé à cela. Ce n’était pas un arrêt brutal et forcé, bien au contraire, c’était mûrement réfléchi. Cela m’a permis de bien me préparer et puis tout au long de ma carrière, je ne voulais pas me couper complètement de la scolarité. J’avais passé un diplôme de relation public-attaché de presse, un diplôme d’assurance, mon brevet d’entraîneur premier et second degré. J’avais fait différentes choses qui me permettait de garder une certaine activité intellectuelle. » L’ancien Sochalien revient également sur son parcours du PSG : « C’était un très bon moment. Je m’entendais très bien avec Luis Fernandez. Si je suis venu à l’époque à Paris, c’était pour partager une expérience avec un entraîneur tel que lui. Le club en lui-même me convenait parfaitement. J’étais un joueur qui avait besoin de pression, de ferveur médiatique et populaire. À Paris, j’étais gâté parce que c’était comme ça en permanence. J’en avais besoin, contrairement à d’autres joueurs inhibés par ça. L’aventure s’est terminée en queue de poisson dans le sens où Vahid Halilhodzic me fait prolonger quatre ans et dès le lendemain, il me fait comprendre en fait qu’il n’avait pas besoin de moi et qu’il ne comptait pas du tout sur moi. Reynald Denoueix, alors entraîneur de la Real Sociedad, me suivait depuis pas mal de temps, il a souhaité ardemment ma venue, et du coup je suis parti le rejoindre en Espagne. Pourquoi une telle décision de la part de Vahid Halilhodzic ? Je ne sais pas. Ce que j’ai pu lire dans la presse, c’est qu’il me considérait, avec Jérôme Leroy, comme un sous-marin de Luis Fernandez, ce qui était absolument faux, bien qu’ayant une très bonne relation avec ce dernier. C’est dommage parce que je pense que l’aventure avec Paris aurait pu continuer et même durer un long moment. […] À mon retour de prêt, je retourne à Paris. Mais Vahid était toujours là et il était hors de question de travailler avec un dictateur, je ne pouvais pas rester. J’ai donc souhaité partir. […] Pour moi c’était impossible de travailler avec lui. On n’avait pas la même conception de la valeur humaine donc c’était impossible. Ce n’était pas une question de travail, c’est juste qu’humainement, Halilhodzic est le genre de personnage qui, pour moi, n’a aucun intérêt. Vous savez, lorsqu’un entraîneur vous dit à la première réunion : “Ici on est dans une démocratie, mais ça ne sert à rien vu qu’il n’y a que moi qui parle et qui ait raison”, vous avez tout compris. Moi j’ai besoin d’un rapport de confiance, ce qui s’est fait avec tous les autres entraîneurs que j’ai eu, que ce soit avec Nouzaret, Denoueix ou Fernandez. Après, qu’il fasse cela avec d’autres joueurs et qui acceptent ce fonctionnement, c’est leur problème, mais avec moi c’était trop compliqué. Pourtant, je ne pense pas être un joueur compliqué, bien au contraire. (rires) »