Ce jeudi, le Parisien consacre une page au « nouveau » PSG, après le changement d’organigramme annoncé hier. Laurent Perrin dresse notamment un premier bilan du nouveau président parisien. L’article débute sur cette anecdote :
Depuis l’arrivée de Robin Leproux au PSG, le 28 juillet, ses voisins de Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine) le voient un peu différemment. Ils l’appellent « président » et cela l’interpelle. « J’ai été président de RTL, ce n’est pas rien ! Mais jamais personne ne m’a appelé comme ça. Et là, juste parce que c’est le PSG, je suis devenu Monsieur le Président. »
Anecdotique sans doute. Symptomatique aussi de ce que représente le plus grand club francilien dans l’esprit collectif. Nouvel homme fort du PSG, il doit faire face à une soudaine notoriété. Ça ne l’effraie pas. Ça ne l’amuse pas non plus. « Ni jovial ni glacial », comme le décrit un membre du club, il ne lui a pas fallu beaucoup de temps pour comprendre les rouages de cette mystérieuse machine qui a usé sept présidents et six entraîneurs en dix ans.