Après Challenges (« Bazin met la pression sur tous les terrains », édition du 15 mai 2008) et le Nouvel Observateur (« Sébastien Bazin, l’ami qui vous veut du bien », édition du 15 mai 2008 également), avec quelques mois de retard sur les autres hebdomadaires, Le Point s’intéresse à son tour à Sébastien Bazin, le patron de Colony Capital en Europe, et à ce titre représentant de l’actionnaire majoritaire du Paris SG.
Dans son édition du 17 juillet, l’hebdomadaire accorde ainsi quatre pages à « Sébastien Bazin, le trouble-fête ». Concernant le Paris Saint-Germain, le moment savoureux est le suivant :
Tout en lui apportant le café, le serveur du bar de l’hôtel Prince de Galles l’interrompt : « Alors, monsieur Bazin, qui sera le prochain gardien de but du Paris/Saint-Germain ? » Et c’est parti… Principal actionnaire du club parisien dans lequel il est entré en 2006, ce pro des montages financiers — qui avoue en privé ne rien connaître au foot, bien qu’il ait pratiqué ce sport pendant dix-sept ans — n’a d’autre choix que de commenter les dernières rumeurs relayées par la presse du matin. La discussion sur les mérites du gardien de but Jérôme Alonzo terminée, Sébastien Bazin soupire… « Je ne peux plus prendre de taxi à Paris : j’ai eu ma photo tellement de fois dans Le Parisien que je ne peux pas faire un trajet sans que le chauffeur ne se sente obligé de jouer les sélectionneurs. »
L’article vous permettra d’en savoir plus sur le parcours de Bazin et l’actualité de ses investissements avec Colony Capital. Alors que le natif de Boulogne-Billancourt s’étonne de faire l’objet de tant d’attention médiatique (« je ne suis que le représentant européen d’un fonds que personne ne connaît »), Le Point conclut ainsi son papier : « Vous ne connaissiez pas encore Sébastien Bazin ? Il y a des chances pour que vous en entendiez parler prochainement… »